A la fin du 18e siècle, les côtes bretonnes attirent quelques rares peintres voyageurs. Dans les années 1840, en pleine période romantique, les rochers de ce bout du monde séduisent d’autres peintres. Ils y explorent, dans une vision souvent dramatique, l’exaltation de l’homme face à une nature démesurée. A partir des années 1860, avec l’arrivée du chemin de fer, la Bretagne devient une terre de peintres….. La fascination pour les rochers perdure.
Culture
L’environnement marin et insulaire
Fonds marins avec une prédominance des cailloutis et graviers et des zones de sable plus ou moins importantes, sur la côte et en baie de Lannion. Des plateaux en mer, des îles culminant à plus de 60 mètres au-dessus du niveau de la mer et des secteurs rocheux viennent rompre la monotonie relative des fonds sédimentaires marins.
Extension de la Réserve Naturelle Nationale des Sept-Îles
L’article suivant résume les principaux enjeux présents dans le périmètre d’extension de la Réserve Naturelle Nationale (RNN) des Sept – Iles et la plupart des réponses réglementaires pour le maintien en bon état de conservation de la biodiversité. La justification du périmètre se retrouve en chapitre IV.
Un territoire singulier et fragile
La Côte de Granit Rose : un territoire singulier et fragile Volet : Urbanisme-Mobilité-Architecture par Françoise Le Put le 31/01/2022 Données d’entrée Périmètre : une côte diversifiée de 26 km Une géographie côtière découpée et un paysage de bocage originellement de...
La relation entre l’homme et la nature
Lorsque nous marchons le long des sentiers de la côte de granite rose, nous éprouvons un sentiment de sérénité : l’esprit se reconnaît mieux dans la présence taciturne et muette de ces roches millénaires que dans le bavardage incessant des êtres humains. Cependant nous éprouvons des impressions différentes au gré de notre marche. Nous sommes d’abord étonnés par le volume imposant des ces chaos granitiques qui occupent un espace considérable.
La côte de granite rose en littérature
C’est dans la seconde moitié du 19ème siècle que la côte de granite rose entre en littérature, du moins dans la grande littérature en langue française.
Cette entrée se fait d’ailleurs par la grande porte puisque ce sont les noms des écrivains bretons majeurs de l’époque qui en furent les hérauts. Dans le sillage du romantisme se développe une mode du tourisme littéraire (Flaubert, Stendhal ou plus tard De Heredia etc.) dans la terre des peintres que sera la pittoresque Bretagne.
Arthur en Trégor, de l’histoire à la légende
Voici quelqu’un dont on a du mal à cerner la biographie. Les savants hypercritiques du 19ème siècle fronçaient les sourcils à la seule hypothèse qu’il ait pu exister un quelconque Arthur. De son côté la Tradition – plus optimiste mais difficilement vérifiable – assure qu’il n’est pas mort. Retiré sur l’île d’Avallon, il soigne ses blessures en attendant de reprendre le combat qui verra la défaite définitive des ennemis des Celtes.
L’extension de la reserve dans l’Histoire
Charles Barré, jeune avocat installé au TGI de Lannion, sa ville natale est l’un des premiers à s’inquiéter du sort réservé aux côtes de notre littoral, qu’il parcourt depuis sa jeunesse.
Suite à la transformation du paysage en quelques années, il devient un ardent défenseur de la préservation de la nature.
La Côte de granite Rose
C’est en 1926 qu’un “organe de liaison et d’information des plages de Perros-Guirec, Trégastel et Trébeurden”, intitulé Granit Rose, désigna une entité touristique dont la naissance remontait à une quarantaine d’années. On s’est gaussé d’une géographie du tourisme qui accorderait un poids excessif au déterminisme naturel dans l’émergence du “balnéotropisme”
Côte de granite Rose
Côte de granite Rose – Côte d’Armor – Patrimoine mondial de l’UNESCO par Hughes Blachère
Granite ou bien Granit ?
Le granite est une roche magmatique, plutonique, grenue, c’est un terme géologique.
Le granit est une roche ornementale polie, c’est un terme architectural.