Biographie
Formation en histoire de l’Art |Archéologie | Licence d’histoire et d’archéologie gallo-romaine Fouilles des thermes gallo-romains du Hogolo en Plestin les Grèves. | Maîtrise d’archéologie médiévale | Moncontour de Bretagne.
Exposé des motifs
“A titre professionnel, j’ai un intérêt personnel pour la Côte de Granit Rose, son histoire, son patrimoine naturel et historique, sa culture. J’œuvre à la promotion d’un tourisme autour de la nature et de la culture. Mon intérêt est aussi d’ordre “politique”. Je suis adjoint au tourisme et à la culture à Pleumeur-Bodou et président de l’association « Parc du Radôme ». Je suis très attaché à un développement harmonieux et durable, mettant les acteurs en synergie pour créer de la « valeur ajoutée » économique tout en améliorant notre cadre de vie et préservant (voire : en restaurant !) l’environnement naturel. Je suis fort impliqué dans les champs variés du développement durable : écologie, produits locaux, développement personnel et collectif par « l’exploitation » raisonnée de nos ressources.
Je faisais partie de l’Office de Tourisme de Pleumeur-Bodou et de l’Office de Tourisme Communautaire (jusqu’en 2015) dans lequel je militais pour un projet fédérateur à l’échelle du territoire et avais suggéré l’idée de rassembler tout le monde autour d’un projet qui élèverait les visions. Celui d’un GEOPOARC me paraissait atteignable (quand on regarde le cahier des charges, il est déjà atteint à 90% !), et il me paraissait pertinent pour consacrer la spécificité de notre territoire. Spécificité géologique, spécificité culturelle, on a rarement vu, sur un seul territoire, autant d’énergies mobilisées dans des causes variées (nature, culture, économie durable, social et action humanitaire, …) qui forment un ensemble cohérent d’intérêt général, motivées pour une passion, pour un amour, pour ce territoire « pas comme les autres » qu’est la Côte de Granite Rose. Voilà quelques mots spontanés et ma carte de visite, qui justifient mon adhésion à ce projet ambitieux (mais légitime) et ce qui me motive à agir pour constituer un groupe de travail autour d’une démarche de labellisation par l’UNESCO.”