Biographie
Né à Lille en 1999 et originaire du Trégor.
A suivi une formation d’ingénieur en Ecologie de la conservation à l’Institut Supérieur d’Agriculture de Lille.
Il a apporté ses compétences naturalistes à l’Association Côte de Granit rose : Respect et Protection en réalisant de multiples inventaires faunistiques et floristiques sur le secteur de Trégastel pour évaluer l’état de la biodiversité.
Il est actuellement chargé de mission scientifique au sein du Conservatoire d’espaces naturels de Lorraine (dans le cadre de son stage de fin d’études) pour accompagner une collectivité territoriale dans la réalisation d’un Atlas de la biodiversité et le développement d’une stratégie territoriale de protection de la biodiversité. Il a participé au projet Emergent’Sea de l’IFREMER qui a pour objectif d’évaluer l’impact de la pollution, générée par certaines substances chimiques, sur la biodiversité marine dont les effets étaient jusqu’alors peu étudiés.
Il a contribué à un programme de recherche co-mené par l’IFREMER et l’association SurfRider Foundation (CURL Project)qui vise à encourager l’Union Européenne à mettre en place des moyens efficaces d’évaluation de la pollution chimique dans les eaux côtières/eaux de baignade.
Exposé des motifs
“Le territoire de la Côte de Granit rose est un lieu où j’ai grandi et qui m’a forgé. Je suis émerveillé par les écosystèmes que l’on peut y observer étant sensible au monde du Vivant dont nous faisons partie et dont nous dépendons. J’ai souhaité intégrer l’Association « Côte de Granit rose : Respect et Protection » parce que j’avais à cœur d’agir et de rencontrer des personnes qui souhaitent s’engager pour la préservation du territoire sur lequel elles vivent. Voir un territoire que l’on aime être parfois malmené est relativement difficile. Faire partie d’une équipe de personnes engagées est rassurant et porteur d’espoir.[…] La côte est fragile, vulnérable face aux multiples pressions anthropiques actuelles. Les activités humaines sur le littoral se développent depuis des décennies sans réflexion prenant toujours plus de place au détriment de la biodiversité dont l’érosion est considérable.L’ambition d’inscrire ce territoire à l’Unesco fait partie des actions à mettre en place pour protéger davantage le patrimoine naturel et ralentir la dégradation perpétuelle des milieux littoraux.[…]”